lundi 26 octobre 2009

LES MONDES D’EWILAN - LA FORÊT DES CAPTIFS de Pierre Bottero (critique d'un livre)




L’histoire en général
C’est les aventures de deux jeunes, une fille et un garçon. La jeune fille découvre un pouvoir quelle possède : dessiner des choses dans la réalité par sa pensée. Elle et son ami ont découvert un monde complètement nouveau.

La critique
C’est une très bonne série de livres. On s’attache facilement au personnage principal : Ewilan et à son compagnon : Salim. C’est une histoire d’aventure avec toutes les caractéristiques d’une histoire de ce type. Le livre est très similaire aux Chroniques de Narnia. Ce que j’ai vraiment aimé du livre c’est la complicité qu’il y a entre Ewilan et Salim. C’est plus que de l’amour, leurs vies sont entremêlées, leurs passés, leurs avenirs. Elle est liée à lui par un sentiment plus fort que les tempêtes et plus profond que le plus profond des océans.

L'AUDITION de Luc Picard (critique d'un film)

Le film en général
Le film se passe dans notre époque, il y a le personnage principal dont le métier est de battre les gens qui n’ont pas remboursé leurs dettes. Sa femme n’apprécie pas le métier qu’il fait et plus tard elle tombera enceinte. Le personnage principal joué par Luc Picard va avoir la chance de faire une audition pour un rôle, il hésite mais finalement il décide d’essayer.
La critique
J’ai adoré les scènes où un acteur explique comment «jouer». J’ai particulièrement aimé quand il dit que l’émotion c’est comme un petit animal, tu dois le laisser s’approcher et même quand il est tout près tu ne saute pas dessus, tu attends qu’il vienne à toi. J’ai aussi adoré la scène de l’accident de voiture qui nous montre à quel point la vie est fragile. La dernière scène est de loin la meilleure. Il a été tué mais sa femme a eu l’enfant et elle a encore la cassette de son audition. Par lui-même il va la mettre et il l’écoute. Il ne peut pas comprendre que c’est son père qui parle mais c’est touchant car l’audition était justement un père qui parle à son fils. Le film est très dramatique mais c’est le plus beau film que j’ai vu.

jeudi 22 octobre 2009

LA NUIT de Guy De Maupassant (nouvelle préférée)


Les figures de style

«Ma chair que les ténèbres caressent.» (La personnification)
«Chaque pensée me fatigue comme si je soulevais un écrasant fardeau.» (La comparaison)
«Ce qu’on aime avec violence fini toujours par vous tuer.» (L’antithèse)

· La personnification

Sur la plage, le sable fin me fait un doux massage. Le vent m’enveloppe et me caresse le visage. Les vagues me jouent une musique relaxante et le soleil me chatouille délicatement le nez.

· La comparaison

Le matin mon corps se lève péniblement comme une grosse roche qu’on voudrait soulever. Mes cheveux sont comme une énorme touffe d’herbe et mes yeux sont comme deux portes bien verrouillées, impossibles à ouvrir.

· L’antithèse

Hier, je riais tellement, que je pleurais. Ensuite, mon ami a ajouté quelque chose et j’ai arrêté de rire car trop, c’est comme pas assez.

MOLLUSQUE, VERS, ÉCHINODERMES, COELENTÉRÉS ET INFUSOIRES de Laurent Theillet


Le recueil de nouveaux mots

Échinodermes
Contexte : énumérations de mots du dictionnaire
Définition : embranchement du règne animal comprenant par exemple les oursins, les astérides
Autre contexte : Ces échinodermes sont accrochés au rocher.

Cœlentérés
Contexte : énumérations de mots du dictionnaire
Définition : invertébré aquatique aux tentacules dotés de cellules urticantes (dont le contact ou la piqûre produit une éruption cutanée accompagnée d'une sensation de brûlure)
Autre contexte : J’ai une peur bleue des cœlentérés quand je me baigne.

Infusoires
Contexte : énumérations de mots du dictionnaire
Définition : vieilli protozoaire flagellé ou cilié qui se développe dans les infusions végétales
Autre contexte : Les alevins, qui sont de jeunes poissons, se nourrissent d'infusoires.

Argonaute
Contexte : Il dit un mot qu’il retranscrit du dictionnaire
Définition : mollusque marin de la classe des céphalopodes
Autre contexte : Je ne veux pas que cet argonaute se fixe sur ma jambe.

Spondyle
Contexte : Il dit un mot qu’il retranscrit du dictionnaire
Définition : Mollusque bivalve des mers chaudes à coquille très colorée garnie d’épines
Autre contexte : Regarde ces spondyles, ils ont l’air piquant.

Iris
Contexte : Un fossé bordé d’iris
Définition : plante ornementale de la famille des iridacées, dont les rhizomes sont utilisés en pharmacie et en parfumerie
Autre contexte : J’aime l’odeur de l’iris, c’est ma fleur préférée.

Claie à verdure
Contexte : une claie à verdure dans son jardin
Définition : treillis à claire-voie, en osier, en bois ou en métal (lattes entrecroisées où pousse la verdure)
Autre contexte : Ma claie à verdure délimite ma propriété.

Oiseux
Contexte : son discours oiseux
Définition : inutile, sans intérêt
Autre contexte : Mes parents parlaient de sujets oiseux

Gastéropodes
Contexte : il parle des ses gastéropodes
Définition : classe de mollusques qui se déplacent en rampant sur un pied ventral
Autre contexte : Je n’ai jamais vu de limace, ce gastéropode m’intrigue.

LES CLAUDE d’Éric Fourlanty




La fin Renouvelée

Après la mort de Claude, Claude était très triste et ne voulait plus parler à personne. Il ne comprenait pas pourquoi mais il avait l’impression qu’il était passé à côté de sa vie, qu’un choix qu’il avait fait n’avait plus de sens pour lui maintenant. Il ne pouvait plus apprécier ce que la vie lui avait apporté. Ce fut dans un autobus qu'il comprit enfin ce qu’il n’avait pas compris plus tôt et il était trop tard. Il ne savait pas s’il était triste ou frustré de cette révélation. Il avait réalisé qu’il n’aimait pas le couple dont il faisait parti, il aurait préféré quelqu’un d’autre. Il aurait aimé…un homme…Claude.

ÇA N'AVAIT AUCUN SENS de Jean-Paul Beaumier


La notice biographique de l'auteur

Jean-Paul vient de Trois-Rivières mais il vit à Québec depuis plus de 25 ans. Il a enseigné le français en Louisiane, il a complété un baccalauréat en études françaises à l’Université de Laval, il a enseigné la littérature et la linguistique au cégep de Trois-Rivières et il est aujourd’hui secrétaire général de la commission d’évaluation de l’enseignement collégial. En 1985, Jean-Paul a participé à la fondation de la maison d’édition : L’instant même.
Ses autres nouvelles sont : L’air libre, Petites lâchetés, Dis-moi quelque chose et Trompeuse, comme toujours. Ça n’avait aucun sens : a parut en 1998, il l'a écrit avec plusieurs autres nouvelles après la fondation de la maison d'édition L'instant même.

Sources:

http://www.instantmeme.com/ebi-addins/im/ViewAuthor.aspx?id=308

Le recueil de nouvelles, Forum.

mercredi 21 octobre 2009

ÇA de Monique Proulx

La description d'un personnage

Le personnage que je vais décrire n'est jamais nommé dans le texte, on décrit à quoi ça ressemble sans dire qu'est-ce que c'est mais on déduit quand même que c'est un sans-abri, un clochard.

Il a l’air d’une sculpture, il pu énormément et il a un grand sac vert rempli de choses. Il n’a pas l’air d’être considéré comme un humain. Il «jappe» un peu quand on lui arrache sont sac, il n’a pas l’air très sociable.

Son passé : Quand il était jeune, il était très ambitieux et il était très populaire à l’école. Toutes les petites filles l’aimaient et il était le chef de son groupe d’amis. Il était le meilleur de son équipe de hockey et rêvait de marcher sur la lune. Il avait une belle vie mais un jour, ses parents sont décédés dans un accident de voiture. Après ce malheureux incident, il ne performa plus à l’école, quitta son équipe de hockey et abandonna son rêve d’enfant. Un jour, il lâcha l’école et devint un sans-abri.

mardi 20 octobre 2009

DANS LE NOIR de John Lutz


La citation.

«Un infime souffle de fraicheur effleura ma joue droite : on ouvrait silencieusement la porte. Il y eut le frottement amorti d’une semelle caoutchoutée sur le sol recouvert de liège.» Un aveugle ne perçoit pas la vie de la même façon que nous. Lui tout se décrit par des sons ou ce qu’il sent. J’aime la perception du narrateur.

«Malgré moi, je repensais à ce jour où la détonation avait soudain retenti comme un coup de tonnerre, à la peur qui me tordait le ventre tandis que j’avançais en rampant sur le tapis rugueux vers l’endroit où quelque chose était tombé comme une masse avec un bruit qui vibrait encore dans l’air.» C’est tellement fascinant comment on peut décrire ce qui arrive sans même le savoir parce qu’on n’a pas la vue. Ce souvenir du narrateur me touche. Surtout depuis que j’ai joué, dans une pièce de théâtre, une aveugle qui apprenait que ses amis étais tous morts dans une explosion et qui essayait de comprendre ce qui s’était passé, c’est sûr que ça me rejoint beaucoup plus.

«Mes mains tâtonnaient éperdument comme deux créatures autonomes, explorant chaque centimètre de l’épais tapis de haute laine. Et puis… quelque chose d’humide et de poisseux, le trou profond, la blessure béante, le revolver, la chair flasque…» Ça évoque de la tristesse, de la grande tristesse pour lui. Ça a du être un choque de découvrir ce qui venait de se passer. Surtout qu’il le découvre sans le voir en décrivant tout sauf l’image. Il doit s’en imaginer des choses, des choses terrifiantes…

«Qu’y avait-il d’écrit dans le billet de Miriam?» Cette phrase m’a surprise, étant voyant, on oubli qu’il n’a pas pu lire le billet.