Les figures de style
«Ma chair que les ténèbres caressent.» (La personnification)
«Chaque pensée me fatigue comme si je soulevais un écrasant fardeau.» (La comparaison)
«Ce qu’on aime avec violence fini toujours par vous tuer.» (L’antithèse)
· La personnification
Sur la plage, le sable fin me fait un doux massage. Le vent m’enveloppe et me caresse le visage. Les vagues me jouent une musique relaxante et le soleil me chatouille délicatement le nez.
· La comparaison
Le matin mon corps se lève péniblement comme une grosse roche qu’on voudrait soulever. Mes cheveux sont comme une énorme touffe d’herbe et mes yeux sont comme deux portes bien verrouillées, impossibles à ouvrir.
· L’antithèse
Hier, je riais tellement, que je pleurais. Ensuite, mon ami a ajouté quelque chose et j’ai arrêté de rire car trop, c’est comme pas assez.
«Ma chair que les ténèbres caressent.» (La personnification)
«Chaque pensée me fatigue comme si je soulevais un écrasant fardeau.» (La comparaison)
«Ce qu’on aime avec violence fini toujours par vous tuer.» (L’antithèse)
· La personnification
Sur la plage, le sable fin me fait un doux massage. Le vent m’enveloppe et me caresse le visage. Les vagues me jouent une musique relaxante et le soleil me chatouille délicatement le nez.
· La comparaison
Le matin mon corps se lève péniblement comme une grosse roche qu’on voudrait soulever. Mes cheveux sont comme une énorme touffe d’herbe et mes yeux sont comme deux portes bien verrouillées, impossibles à ouvrir.
· L’antithèse
Hier, je riais tellement, que je pleurais. Ensuite, mon ami a ajouté quelque chose et j’ai arrêté de rire car trop, c’est comme pas assez.
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